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somnambulisme alimentaire, causes & solutions
Le somnambulisme alimentaire (sleep-eating syndrome) est une forme de somnambulisme pendant laquelle la personne mange, au lit ou ailleurs dans la maison, sans en avoir aucun souvenir le lendemain. Alors, quels sont les symptômes ? Quels examens peuvent aider à diagnostiquer le problème ? Quelles solutions existent pour lutter contre le somnambulisme alimentaire ? On vous en dit plus !
Benjamin
Conseiller de vos nuits
Sommaire de l'article

Somnambulisme alimentaire : une parasomnie qui intervient pendant le sommeil profond

Le somnambulisme alimentaire est un sous-type de somnambulisme : la personne n’a pas conscience qu’elle est en train de manger. Ce trouble survient dans la phase 4 du sommeil, qui se caractérise par des vagues lentes et un sommeil très profond. 


Les symptômes du somnambulisme alimentaire

Avec le somnambulisme alimentaire, la personne se lève et mange de façon compulsive et sans le savoir, puisqu’elle n’est pas consciente. Elle semble éveillée et est capable d’ouvrir le réfrigérateur, de mâcher et d’avaler les aliments. Ainsi, comme dans le somnambulisme, il n’y a ni conscience des actes, ni souvenirs.

Les personnes qui souffrent de troubles du comportement alimentaire pendant la nuit sont fatiguées et anxieuses. 

On observe que les épisodes de somnambulisme alimentaire surviennent de manière occasionnelle ou régulière, souvent pendant un régime trop pauvre en calories. La personne somnambule est alors amenée à consommer les aliments qu’elle s’interdit habituellement. Ce type de trouble peut également être un effet indésirable de certains médicaments hypnotiques.

La personne se réveille le lendemain matin dans son lit : les miettes ou les déchets des aliments consommés pendant la nuit l’entourent, ou sont amoncelées dans la cuisine. Le patient ne se souvient quasiment plus de rien, commence à prendre du poids, et doit faire face à une importante fatigue dirune.

La différence entre le somnambulisme alimentaire et la consommation compulsive d’aliments 

La consommation compulsive d’aliment la nuit est un comportement conscient : la personne se lève, avale tout ce qu’elle trouve, sans parvenir à s'arrêter. Ce trouble du comportement alimentaire est appelé « night eating disorder » en anglais. 

Parfois désignée par le terme de boulimie nocturne, ou encore d'hyperphagie nocturne, cette pathologie touche autant les hommes que les femmes. Elle peut être la conséquence d’un problème métabolique, mais est aussi souvent d'origine psychologique. La personne qui en souffre ressent une envie compulsive de se lever pour manger durant la nuit, et est incapable de réfréner cette envie.

Les troubles de l’alimentation nocturne se traduisent par un décalage de la prise alimentaire dans la soirée. Les personnes qui souffrent de ce problème ne mangent rien avant le début, voire la fin de l’après-midi. En revanche, elles consomment d’importantes quantités de nourriture pendant, et surtout après le dîner, parfois jusque tard dans la nuit. Les sujets souffrent également de troubles du sommeil et se relèvent parfois la nuit pour manger. Ces problèmes sont présents de manière chronique, et peuvent être le symptôme d’une dépression.

qu'est-ce que le somnambulisme alimentaire ?

Le somnambulisme alimentaire, quant à lui, n’est pas un trouble du comportement alimentaire, mais un trouble du sommeil. Il s’agit d’un schéma d’alimentation compulsive et nocturne inconscient et motivé par la phase du rêve dans laquelle se produit ce phénomène.

Les causes du somnambulisme alimentaire

Les causes du somnambulisme alimentaire sont encore mal connues. Les scientifiques pensent que certains facteurs génétiques pourraient être impliqués. Ainsi, si une personne est atteinte de parasomnie, ses enfants ont un risque plus élevé d'en souffrir également.

En outre, on remarque une importante corrélation entre ces épisodes nocturnes et un manque de sommeil, ou des phases de stress. Ces troubles sont souvent rencontrés chez les personnes au régime. Ainsi, si la personne se prive consciemment de nourriture, le cerveau inconscient satisfait ce besoin la nuit.

Par ailleurs, la fatigue entraînée par un rythme élevé de travail, des horaires décalés ou encore, des repas tardifs peuvent amplifier la fréquence de ces épisodes de somnambulisme alimentaire.

Le diagnostic du somnambulisme alimentaire

Le diagnostic du somnambulisme alimentaire est assez simple à réaliser, puisque le comportement du dormeur en phase de sommeil profond parle de lui-même. Toutefois, afin de comprendre si ce problème est associé à d’autres troubles du sommeil, une polysomnographique pourra être nécessaire. Il s’agit d’un enregistrement du sommeil au cours de la nuit, qui permet d’identifier des anomalies du sommeil, notamment de type respiratoire.

Ce test permettra d’étudier la physiologie de votre sommeil, ses différentes phases, et d’identifier d’éventuels troubles associés au somnambulisme. C’est un examen complet, qui comprend :

  • Un électromyogramme des muscles des bras et des jambes ;
  • Un encéphalogramme ;
  • Un enregistrement du rythme respiratoire et cardiaque. 

Pendant l’examen, le patient est filmé et son comportement observé par un médecin. 

Quelles solutions pour le somnambulisme alimentaire ?

Prendre soin de ses nuits de sommeil

On l’a vu, l’une des causes de l’apparition des épisodes de somnambulisme alimentaire est le manque de sommeil. Pour améliorer la qualité de vos nuits, plusieurs pistes peuvent donc être envisagées :

  • Levez-vous et couchez-vous à horaires réguliers : vous pourrez ainsi profiter d’une meilleure hygiène de sommeil et mettre toutes les chances de votre côté pour réguler votre horloge biologique ;
  • Créez autour de vous une vraie bulle de calme et de noir ! Les lumières et les bruits peuvent provoquer des réveils nocturnes qui impactent la qualité de votre sommeil. Les masques et les bouchons d’oreillers pourront ici vous aider à profiter d’une nuit plus sereine ;
  • Chouchoutez tout votre corps : la literie joue un rôle fondamental lorsque l’on souhaite profiter d’un sommeil plus réparateur. Votre matelas doit tout d’abord être adapté à votre morphologie. Si vous avez une carrure XS ou S, les matelas souples pourront accueillir votre corps en douceur. Si vous avez une morphologie M ou L, vous avez besoin de matelas mi-fermes, et enfin, si vous avez une carrure XL ou XXL, ce sont les matelas fermes, voire très fermes qui seront vos plus grands alliés. L’oreiller est également très important. Veillez à en choisir un qui soit adapté à votre position de sommeil (sur le ventre, sur le dos, sur le côté), à vos éventuels problèmes de santé, à vos préférences de confort (moelleux, mi ferme, ferme), et à votre morphologie. Pour améliorer la qualité de votre sommeil, les oreillers ergonomiques peuvent être un vrai plus ;
  • Avant d’aller au lit, veillez à ne pas utiliser de lumière bleue : émises par les écrans de Smartphone, d’ordinateur et de tablette, elles perturbent l’endormissement mais peuvent également avoir un impact sur toutes les phases du sommeil ;
  • Mangez correctement avant d’aller au lit : consommez des aliments riches en tryptophane, un acide aminé qui favorise la sécrétion de mélatonine. On le trouve dans les produits laitiers, dans les oléagineux, les légumineuses, les bananes, ou encore, dans le chou. Par ailleurs, veillez à prendre vos repas à heures régulières.

Réguler son stress

Pour lutter contre les épisodes de somnambulisme alimentaire, vous devez réussir à réguler votre stress. Avant d’aller au lit, vous pouvez tester les exercices de respiration. La cohérence cardiaque peut ici être une alliée de taille. Elle consiste à prendre 6 inspirations par minute, pendant 5 minutes, et à répéter cet exercice trois fois par jour. Les effets immédiats de la cohérence cardiaque sur le corps ne laissent pas indifférents :

  • Baisse du cortisol, la principale hormone secrétée pendant un stress ;
  • Augmentation des IgA salivaires, qui participent à la défense immunitaire ;
  • Augmentation du facteur natriurétique auriculaire, hormone secrétée par le cœur et qui agit sur l’hypertension artérielle ;
  • Action favorable sur de nombreux neurotransmetteurs, dont la dopamine (l’hormone du plaisir) et la sérotonine (qui permet de prévenir la dépression et les angoisses).

Au bout de dix jours de pratique, vous pouvez profiter d’effets durables, comme une diminution de l’hypertension artérielle, une diminution du risque cardiovasculaire, une régulation du taux de sucre, et une meilleure récupération.

Exercice de respiration pour lutter contre le stress

Pour réguler votre stress, vous pouvez également vous tourner vers la sophrologie. Mettez-vous en position debout ou assise, dans un endroit calme, et relâchez vos bras le long de votre corps. Visualisez ensuite votre schéma corporel et concentrez-vous sur chaque partie. Commencez par les zones de votre visage (relâchez les yeux, lissez le front, décontractez les mâchoires…).

Continuez ensuite l’exercice avec chaque partie du corps du haut vers le bas : pensez bien aux extrémités (doigts et orteils) et libérez tout le corps, en commençant par votre nuque, vos bras, vos jambes… À chaque fois, pensez à décontracter cette partie et à la libérer de toutes les tensions et pensées parasites.

Les anti-dépresseurs

Les traitements à base d'antidépresseurs semblent également être une solution intéressante pour réduire la fréquence des crises. Si vous pensez souffrir de somnambulisme alimentaire, n’hésitez pas à vous tourner vers un médecin, qui pourra établir un diagnostic et vous guider vers des solutions adaptées.
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