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Syndrome de KiSS ou KiDD : qu’est-ce que c’est et comment le détecter ? | Mon oreiller et moi

La posture de votre enfant, ses pleurs fréquents, son manque de motricité ou encore une asymétrie au niveau de la nuque sont des symptômes qui peuvent vous alerter : les nourrissons et les enfants qui présentent un syndrome de KiSS (abréviation de Kopfgelenk Induziert Symetrie Störungen) ou de KiDD (abréviation de Kopfgelenk- Induzierte- Dyspraxie / Dysgnosie) présentent une gêne cervicale qui ne doit pas être prise à la légère. Alors, quels sont les symptômes du syndrome de KiSS ou de KiDD ? Comment prendre en charge cette pathologie pour soulager votre enfant efficacement ?

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Benjamin
Conseiller de vos nuits
Sommaire de l'article

Les symptômes d’un syndrome de KiSS

Le syndrome de KiSS touche les nouveau-nés : il est l’abréviation d’un nom allemand, qui signifie « Troubles de symétrie induits des vertèbres cervicales ». Les bébés qui présentent ce syndrome montrent des perturbations de la symétrie, induites par les articulations de la jonction crânio-cervicale. En conséquence, le nouveau-né perd alors en mobilité de l’articulation entre la première vertèbre cervicale et la base du crâne.

Afin de repérer un syndrome de KiSS, certains symptômes peuvent être observés :

  • Le nouveau-né incline la tête
  • Il présente une hyperextension de la tête
  • Son corps est incliné, en forme de C
  • Il présente un aplatissement d’un côté de la tête pouvant faire penser à une plagiocéphalie
  • L’ouverture de l’un de ses yeux est plus importante que l’autre
  • L’un de ses yeux est plus enfoncé que l’autre
  • Un côté de sa mâchoire est plus proéminent que l’autre
  • Le bébé ne peut téter que d’un côté car sa tête est bloquée, la succion est difficile et peut être douloureuse pour la maman, qui présente parfois des crevasses
  • Le bébé avale beaucoup d’air lorsqu’il tète
  • Les rots et les gaz, les nausées et/ou les vomissements sont fréquents, et un reflux gastro œsophagien peut être suspecté
  • Le bébé salive beaucoup, sa bouche est presque constamment ouverte, et il a du mal à déglutir
  • Il présente des troubles du sommeil, il s’endort difficilement, il pleure beaucoup, il est agité, ou à l’inverse, c’est un bébé très tranquille, qui a besoin de beaucoup dormir
  • Il présente une déformation au niveau des pieds
  • Un trouble du développement moteur est observé

 

Les symptômes d'un syndrome de KIDD

À partir de 2 ans, on parle de syndrome de KiDD. Les enfants présentent une dysgnosie (trouble de la perception) et/ou une dyspraxie (maladresse) induite(s) par les articulations de la jonction crânio-cervicale.

En réalité, les enfants qui présentent un syndrome de KiDD sont des anciens KiSS Kinder qui n’ont pas été traités.

Les symptômes qui peuvent alerter sont les suivants :

  • Mauvaise posture
  • Maux de tête
  • Trébuchements, chutes fréquentes
  • Troubles du développement de la motricitéfine et/ou globale (coloriage, peinture, écriture, vélo, tenir en équilibre...)
  • Troubles de la concentration
  • Retard du développement du langage
  • Troubles émotionnels
  • Troubles du sommeil
  • Difficultés à s’orienter dans l’espace
  • Agitation motrice
  • Trouble de l’oralité (il peut ici s'agir de troubles par absence de comportement spontané d'alimentation, ou par refus d'alimentation)

Le syndrome de KiDD qui perdure à l’âge adulte peut avoir une incidence sur les vertèbres cervicales du patient, sujettes à de nombreuses douleurs. Le patient adulte présente également un mal de dos chronique, une hernie discale, des troubles de l’équilibre et de la motricité, ainsi que des bruits d’oreille. 👂

 

Quelles solutions pour soigner le syndrome de KISS ou KIDD ?

Le syndrome de KiSS ou KiDD naît d’un dysfonctionnement rotatoire des deux premières cervicales sous le crâne. Ce dysfonctionnement entraîne des tensions en permanence dans le corps. Pour soulager ces tensions, l’ostéopathie joue un rôle central.

Plus le traitement est initié tôt, plus l’efficacité des séances d’ostéopathie est importante. Afin de soigner dette pathologie, une prise en charge par un pédiatre est tout d’abord nécessaire : un diagnostic pourra ainsi être établi, afin d’exclure toute pathologie organique.

Pour initier la prise en charge, une radiographie sera prescrite, et permettra au praticien d’avoir une compréhension plus précise du cas.

Les séances d’ostéopathie seront ensuite planifiées afin de traiter le syndrome de KiSS. Grâce à des techniques douces de manipulation, la mobilité est rapidement redonnée au bébé. L’objectif de ces exercices est de réharmoniser la jonction cranio-cervicale et de vérifier qu’il n’y a pas de tension sur l’axe cranio-sacré et le bassin.

Chez l’enfant comme chez l’adulte, un bilan global ostéopathique doit être réalisé en amont : c’est ce qui définira les lignes directrices à suivre pour chacune des séances. En effet, une grande partie des enfants qui souffrent du syndrome de KiSS ou KiDD présentent des symptômes atténués : le traitement devra donc être adapté à chacun d’entre eux.

Grâce à la prise en charge ostéopathique, le blocage à la base du crâne pourra ensuite être libéré : lorsque la mobilité est revenue, et que les résultats peuvent être maintenus trois semaines après les séances, le traitement peut alors se terminer.

 

Prendre soin de sa posture la nuit avec des oreillers

S’il s’agit de votre bébé de moins de trois ans

Avant trois ans, il est essentiel de rappeler que vous ne pourrez pas compter sur les oreillers pour soigner la posture de votre enfant : en effet, à cet âge, ne placez rien dans le lit qui pourrait entraver sa respiration. Pour corriger sa posture, comptez davantage sur les séances d’ostéopathe, qui pourront véritablement vous accompagner.

Si votre enfant a plus de trois ans

Si votre enfant a plus de trois ans, les oreillers en fibres de polyester, douces et accueillantes, sauront prendre soin de sa posture la nuit. Un oreiller spécifique pour enfant  pourra prendre soin de son bien-être, pour l’aider à trouver le sommeil plus rapidement, et moins se réveiller la nuit. 💤

Si vous êtes adulte

Pour éviter de faire naître des points de pression aux cervicales qui sont particulièrement fragilisées avec le syndrome de KiSS et de KiDD, il est conseillé de se tourner vers les oreillers ergonomiques et cervicaux, élaborés en collaboration avec de nombreux professionnels de la santé. Optez pour des coussins à mémoire de forme, qui s’adaptent avec précision aux contours de la tête et de la nuque des dormeurs. L’objectif, en optant pour ce type de produit, c’est de permettre à ces zones sensibles d’être accueillies dans la plus grande des douceurs, pour les chouchouter au maximum.

Pour trouver l’oreiller santé qui vous correspond, ce test de 8 questions pourra être un bon point de départ : il fera le point sur vos problèmes de santé, vos préférences de confort, votre morphologie et votre position de sommeil, pour vous guider vers l’oreiller le plus adapté pour vous et votre syndrome.

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Insomnie chez l'enfant : quelles causes et quelles solutions ?

Les troubles du sommeil chez l’enfant ne sont bien évidemment pas nécessairement dus au syndrome de KiSS ou KiDD. 🥱

Les insomnies chez l’enfant peuvent naître de plusieurs problèmes tels que :

  • Les infections ORL ;
  • Les troubles digestifs ;
  • Un rythme de sommeil désorganisé ;
  • Les troubles du comportement, tels que l’hyperactivité ;
  • Un environnement familial perturbé (conflit au sein du couple parental, déménagement, troubles de l’attachement…)
  • Une chambre surchauffée, trop bruyante, pas assez sombre.

Vous l’aurez compris, les facteurs qui peuvent perturber la qualité de sommeil des enfants sont nombreux.

Pour chouchouter les nuits de vos petits, quelques solutions peuvent vous accompagner au quotidien :

  • Mettez en place un rituel : le rituel que vous mettrez en place au coucher vous aidera à faire de la chambre un lieu d’apaisement. Commencez ce petit rituel avec un lavage des dents, du visage. Au moment d’aller au lit, vous pouvez lui demander de choisir un jeu calme, ou lui lire une histoire. Demandez-lui également de raconter sa journée, et terminez ce moment de sérénité par un câlin pour lui dire bonne nuit. Ces moments que vous passez avec lui l’aideront à se réconcilier avec sa chambre, et à apaiser son sommeil ;
  • Préparez-le psychologiquement à aller au lit : l’heure du coucher se prépare doucement. Évitez d’annoncer à votre enfant de manière trop soudaine qu’il est temps d’aller au lit. Prévenez-le en amont, 10 minutes avant, puis 5 minutes avant ;
  • Respectez le rythme naturel de votre enfant : dès que votre enfant présente des signes de fatigue, amenez-le au lit. Pour respecter son rythme circadien, couchez-le et réveillez-le à horaires réguliers ;
  • Maintenez la température de sa chambre à 18 ou 19 °C : au-delà de cette température, votre enfant aura du mal à s’endormir, et sera davantage sujet aux sueurs nocturnes ;
  • Offrez-lui une literie de qualité : l’oreiller joue un rôle central dans la qualité de sommeil de votre enfant. S’il a entre 3 et 5 ans, optez pour l’oreiller Nemo, certifié sans substance nocive et garnis de fibres de polyester douces et légères. S’il a entre 6 et 10 ans, l’oreiller Dory, en fibres creuses siliconées, saura chouchouter la nuque de votre enfant.

 

Favoriser l'endomissement chez l'enfant : les pièges à éviter

Dans la mesure du possible, afin de favoriser l’endormissement de votre enfant, essayez de le faire manger avant les deux heures qui précèdent son coucher. La digestion peut en effet rendre l’endormissement difficile.

Pendant le repas du soir, évitez les aliments trop gras et trop sucrés, ainsi que les excitants, tels que les sodas : nul doute que ces derniers tiendront votre enfant éveillé pendant de longues heures !

Éloignez les écrans de sa soirée : ils génèrent de la lumière bleue, qui laisse croire au cerveau de votre enfant que la journée n’est pas terminée. Pour mettre le cerveau de votre enfant en bonnes conditions pour aller dormir, optez pour les jeux de cartes, le dessin, qu’il fera tranquillement dans sa chambre, au calme.

Pendant les 2 heures qui précèdent le coucher de l’enfant, veillez à ce qu’il ne fasse pas de sport. Les activités physiques créent des hormones qui retardent l’endormissement. Du sport oui, mais durant l’après-midi !

 

Sommeil chez l’adolescent : ce qu'il faut savoir

Les adolescents ont besoin de beaucoup de sommeil pour se sentir en forme. Puisque leur corps traverse une phase de croissance rapide, ils doivent dormir entre 8 et 10 heures par nuit.

Le sommeil chez l’adolescent est pourtant souvent troublé : coucher tardifs, réveils tôt, réveils nocturnes… Les ados se lèvent avec le sentiment de ne pas avoir rechargé leurs batteries.🔋

En cause ?

  • Le stress : les études, les relations familiales, amicales, scolaires peuvent être à l’origine d’une forte anxiété chez l’adolescent ;
  • Les mauvaises habitudes avant le coucher : utilisation tardive des smartphones, consommation d’alcool, de cannabis, de café, alimentation trop sucrée ou trop grasse peuvent être en cause ;
  • Les insomnies ;
  • L’hypersomnie : l’adolescent a un besoin excessif de sommeil ;
  • Le syndrome du retard de phase : l’adolescent présente un décalage du rythme circadien. Il s’endort vers 2 heures du matin et se réveille vers 11 h. Ce syndrome, fréquent chez les ados, s’accentue en général pendant les vacances.

 

À tout âge, pour bien dormir, les bonnes habitudes à prendre sont nombreuses.

 

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