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Docteur du sommeil : quel spécialiste consulter et pourquoi ?

Si vous n’êtes pas en paix avec votre sommeil, si vous vous levez souvent la nuit, si vous avez du mal à vous endormir, ou encore, si vous souffrez de somnolence diurne, le docteur du sommeil peut vous accompagner vers des nuits plus douces. Mais alors, quel est son rôle ? Quelles sont les différentes maladies du sommeil qu’il vous aide à traiter ? Quels examens utilise-t-il pour diagnostiquer les troubles du sommeil ? Zoom sur ce professionnel de santé qui joue un rôle central sur vos nuits !

Benjamin
Conseiller de vos nuits
Sommaire de l'article

Les différents médecins pour régler vos problèmes de sommeil

Si vous êtes constamment fatigué ou si vous avez beaucoup de mal à dormir, vous pourrez commencer par vous rendre chez votre médecin généraliste, qui saura vous aiguiller vers différents professionnels de santé, en fonction de votre problème :

  • Un oto-rhino-laryngologiste: si vous souffrez de somnolences diurnes persistantes, il peut s’agir d’un symptôme de troubles obstructifs respiratoires du sommeil. L’ORL examinera vos voies aériennes supérieures en réalisant à un examen clinique minutieux : un examen endobuccal, cervical et des tympans, voire une nasofibroscopie pourront alors être programmés, afin de rechercher des facteurs obstructifs nasaux, pharyngés voire laryngés ;
  • Un pneumologue : il permet également de diagnostiquer et de traiter les syndromes d'apnée du sommeil, en examinant les voies aériennes inférieures, c’est-à-dire les bronches ;
  • Un neurologue : présent au sein des centres de sommeil, le neurologue peut vous faire passer une polysomnographie ;
  • Un cardiologue : l’hypertension peut nuire au sommeil. Dans ce cas de figure, c’est un cardiologue qui pourra poser un diagnostic et proposer des pistes de traitements ;
  • Un psychiatre ou un psychologue : si vous souffrez d’une fatigue importante, si vos insomnies sont fréquentes, si vous avez du mal à dormir, il peut s’agir d’une dépression. Une prise en charge par un psychothérapeute peut vous aider à aller mieux, et à reprendre le contrôle de vos nuits !

Sommeil : Quand consulter, quel spécialiste choisir ?

Quelles maladies du sommeil peut diagnostiquer le docteur du sommeil ?

Le docteur du sommeil peut diagnostiquer de nombreuses maladies :

  • Les insomnies : le patient n’arrive pas à trouver le sommeil, il dort moins de 5 heures par nuit ;
  • Les hypersomnies : le patient dort au-delà de 9 heures par nuit, il somnole beaucoup en journée ;
  • L’apnée du sommeil : cette maladie est caractérisée par une obstruction épisodique des voies respiratoires pendant le sommeil, liée au relâchement des muscles de la gorge et de la langue. Le patient fait alors des pauses respiratoires plus ou moins longues et fréquentes pendant la nuit. C’est une pathologie qui présente un risque important pour la santé du fait du manque d’oxygénation chronique ;
  • Le syndrome des jambes sans repos est un trouble chronique caractérisé par un besoin impérieux (urgent et irrésistible) de bouger les jambes. Le patient ressent également des sensations désagréables au niveau des membres inférieurs survenant au repos, que l’on appelle « impatiences ». Il peut s’agir de picotements, de fourmillements, de tiraillements, d’impression de petites décharges électriques, voire de douleurs ;
  • Les parasomnies : il s’agit d’événements comportementaux ou psychiques anormaux et indésirables qui surviennent pendant le sommeil ou à la lisière entre l’éveil et le sommeil. Il existe des parasomnies de sommeil lent profond, comme les éveils confusionnels, le somnambulisme et les terreurs nocturnes. Il peut s’agit par ailleurs de parasomnies de sommeil paradoxal, comme le trouble comportemental en sommeil paradoxal (TCSP), la paralysie du sommeil isolée récurrente, les cauchemars récurrents et la catathrénie. Enfin, il peut s’agir de parasomnies de sommeil lent et paradoxal, comme le trouble alimentaire du sommeil, la sexsomnie, le syndrome de recouvrement parasomniaque et l’énurésie du sommeil. Il existe aussi d’autres parasomnies qui peuvent se manifester au cours des phases préliminaires du sommeil, comme les rythmies d’endormissement, les hallucinations hypnagogiques, la somniloquie ou le bruxisme.

 

Quand consulter un docteur du sommeil ?

Vous pouvez consulter un docteur du sommeil si vous avez des difficultés pour vous endormir, si vous vous réveillez pendant la nuit ou si vos réveils sont trop matinaux, et que vous avez du mal à vous rendormir. Vous pourrez également avoir besoin d’une consultation auprès d’un médecin du sommeil si ces troubles ont un retentissement sur votre journée, c’est-à-dire si vous sentez que vous êtes fatigué, que vous manquez d’énergie, que vous somnolez, ou encore, que vous souffrez de troubles de l'attention, de la concentration, de sautes d’humeur, d’irritabilité...

Vous pourrez aussi vous tourner vers un médecin du sommeil si vous avez des accès de sommeil irrépressibles, si vous avez grandes difficultés à vous réveiller le matin, si vous avez des comportements de désorientation spatio-temporelle, des paralysies du sommeil, des hallucinations...

Quelles sont les causes des troubles du sommeil ?

Une insomnie occasionnelle, ou qui ne dure que quelques nuits, est souvent liée à :

  • Un environnement de sommeil inapproprié : trop de bruit, trop de lumière, une chambre surchauffée, une literie de mauvaise qualité, inadaptée à votre morphologie, à votre position de sommeil… ;
  • Un événement stressant, un choc émotionnel, un grand changement dans la vie professionnelle ou personnelle ;
  • La consommation de boissons à base de caféine ou théine.

Avec les insomnies occasionnelles, il vous suffit d’intervenir sur la cause afin de voir de réels changements sur votre sommeil.

Si vous souffrez d’insomnies chroniques, c’est-à-dire si le problème se manifeste au moins 3 fois par semaine depuis au moins 3 mois, plusieurs maladies peuvent être mises en cause :

  • Une hyperthyroïdie, un reflux gastro-œsophagien (RGO), de l’asthme nocturne, des rhumatismes, une dépression ;
  • Un syndrome des jambes sans repos ;
  • Une apnée du sommeil ;
  • Un trouble du rythme circadien...

 

Les examens du sommeil

Pour poser son diagnostic, le médecin du sommeil peut utiliser plusieurs examens.

La polysomnographie

C’est l’examen le plus complet pour étudier la structure du sommeil. Il permet de détecter d’éventuels troubles en enregistrant de nombreux paramètres physiologiques comme l’activité cérébrale, l’activité électrique des muscles, les mouvements oculaires, la respiration, l’activité cardiaque et le taux d’oxygène, grâce à différents capteurs et électrodes. La polysomnographie se déroule pendant la nuit au centre du sommeil. Pendant cet examen, la personne est filmée.

Le test de maintien d’éveil

Le patient est assis sur un fauteuil dans une pièce avec une lumière tamisée. Il reste pour une période de 40 minutes dans ces conditions en essayant de ne pas s’endormir. Plusieurs capteurs seront installés sur son cuir chevelu, près des yeux et sur le menton. Il y a 4 périodes de test (deux le matin et deux l’après-midi généralement), séparées par 2 heures d’intervalle, au cours desquelles il sera important de ne pas vous endormir.

Le test de latence à l’endormissement

Il consiste à évaluer le temps de latence avant l’apparition du sommeil. Avec ce test, on diagnostique principalement la narcolepsie

La capnométrie (ou capnographie)

Elle est utilisée en complément pendant une polysomnographie. Elle permet de mesurer le taux de dioxyde de carbone (CO2) contenu dans les gaz respiratoires grâce à un capteur placé sur la face plane du front.

L’oxymétrie (ou saturométrie) 

C’est un enregistrement nocturne qui permet de mesurer le taux d’oxygène dans le sang et permet d’en déceler le manque éventuel, symptomatique des apnées du sommeil. Pratiquée seule, l’oxymétrie peut s’effectuer à domicile grâce à un capteur fixé au bout du doigt.

L'oxymétrie : un examen pour diagnostiquer les apnées du sommeil

L’actimétrie

Le patient doit ici porter un bracelet (actimètre) à son poignet. Il est alors possible de déterminer son rythme veille/sommeil sur plusieurs semaines. Grâce aux données, le docteur du sommeil pourra évaluer d’éventuels problèmes de décalages de phase, ou encore estimer la quantité de sommeil. Il s’agit d’un examen qui se réalise en ambulatoire au domicile du patient et qui s’effectue sur un minimum d’une semaine. Notez que la personne doit ici porter l’appareil 24h sur 24.

La polygraphie ventilatoire

Elle permet de rechercher les marqueurs respiratoires et le taux d’oxygène dans le sang pendant le sommeil. Elle est souvent utilisée afin de diagnostiquer un syndrome d’apnées du sommeil. Cet examen s’effectue à domicile. Le patient s’équipe de deux ceintures : une thoracique et une abdominale. Elles enregistrent les mouvements respiratoires, et un capteur, positionné à la base du cou, permet d’enregistrer les sons des ronflements et de la respiration. Enfin, un oxymètre mesure le taux d’oxygène dans le sang et une canule nasale permet de capter le flux d’air.

L’agenda du sommeil

L’agenda de sommeil est un puissant outil pour mieux comprendre vos nuits.

Il se remplit à deux moments de la journée : le matin au réveil, pour décrire le déroulement de la nuit, et le soir pour reporter les différents événements qui se sont passés dans la journée. 

Le matin, au réveil, inscrivez la date, et l’heure à laquelle vous avez été au lit, ainsi que votre horaire définitif de lever. Précisez également si vous vous êtes levé au cours de la nuit, combien de fois, combien de temps… Si vous vous êtes réveillé en pleine nuit et que cet éveil a été problématique pour vous, notez approximativement les heures où vous avez été tenu éveillé. Pour vous aider à y voir plus clair, vous pourrez vous tourner vers les montres connectées ou les bracelets connectés. Reliés à une application dans votre smartphone, ils enregistrent toutes vos phases de sommeil.

Précisez ensuite la qualité de votre nuit, votre forme au réveil. Notez également ce que vous avez mangé la veille au soir, si vous avez pris des médicaments, ou si des évènements pourraient interférer avec votre sommeil : pratique d’un sport le soir, utilisation de votre smartphone pendant plusieurs heures, maux de tête, rhume... 

Le soir, remplissez à nouveau l’agenda de sommeil afin de préciser si vous avez fait une sieste, si vous avez vécu des évènements stressants. Notez si vous avez vécu des périodes de somnolence  pendant le travail ou sur le trajet, et quelle a été leur intensité. 

Mettre toutes les chances de son côté pour mieux dormir

Pour mieux dormir, vous avez besoin de suivre plusieurs règles d’or. Elles peuvent avoir un énorme impact sur la qualité de vos nuits :

  • Le soir, tamisez la lumière du salon, afin d’indiquer à votre cerveau que l’heure d’aller se coucher approche : vous stimulerez ainsi la production de mélatonine ;
  • Mangez des aliments riches en tryptophane : oléagineux, légumineuses, œufs, bananes… Cet acide aminé vous aide à produire de la mélatonine ;
  • Pratiquez des activités relaxantes. Le stress et l’anxiété retardent votre endormissement et provoquent des réveils nocturnes. Le soir, adonnez-vous à la méditation, à la sophrologie, au yoga, à la cohérence cardiaque ;
  • Evitez les lumières bleues, qui sont générées par les écrans de smartphones, tablettes et ordinateurs ;
  • Dormez dans une literie adaptée à vos habitudes de sommeil. Votre oreiller doit correspondre à votre position de sommeil, à votre morphologie, à vos éventuels problèmes de santé et à vos préférences de confort. Privilégiez les oreillers ergonomiques, qui placent votre tête dans le prolongement de votre nuque et de votre colonne vertébrale. Pour dormir sereinement, adopter une bonne position de sommeil est fondamental ;
  • Utilisez des somnifères naturels, comme les huiles essentielles, les infusions aux plantes, les compléments alimentaires au magnésium ou au tryptophane, les fleurs de Bach…
  • Privilégiez la régularité : couchez-vous et levez-vous chaque jour à ma même heure, pour réguler votre horloge biologique ;
  • Veillez à ce que la température de votre chambre n’excède pas les 18 ou 19 °C. Pour s’endormir, votre corps doit en effet diminuer légèrement en température, et il ne peut pas le faire dans une chambre surchauffée !
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